BOUILLON BLANC ET TRAIN D’ENFER

BOUILLON BLANC ET TRAIN D’ENFER

Emile Hesbois

1982. A cette époque, des petites lignes de chemin de fer, des petites gares sont supprimées. Séraphin, chef de gare à la retraite, s’insurge contre ce démantèlement programmé et se souvient des résistances anciennes. C’est l’objet du spectacle créé cette année-là.
Auiourd’hui, la situation n’a fait qu’empirer, et Emile Hesbois passe le relais à Serge Collard pour ne pas se « laisser emporter par la fuite en avant d’un monde qu’on nous bâtit et qu’on souhaiterait différent. »
La nostalgie n’est pas forcément rétrograde...

2005 - 12,5/21 - 64 p. - 7,40 € - 2-87267-091-2