• LES TRETEAUX suivi de LES ENCOMBRANTS

  • LES TRETEAUX suivi de LES ENCOMBRANTS

    Jean Leroy

    Les Tréteaux  : Trois hommes ne se sont plus vus depuis vingt ans. Pourtant, un lien puissant les unissait alors : la passion de la langue. Depuis, plus rien. Ils se retrouvent face à face, car la langue est en danger. Parce que le sang coule toujours quand les mots sont absents. Parce qu’il n’y a plus d’humanité quand les hommes se taisent.
    Les Encombrants  : Sacha, Tom et Simon, enfermés dans une chambre, inconnus l’un de l’autre, attendent la mort, qu’ils ont voulue. Parce qu’ils sont encombrants, rejetés de la société, objets inutiles. Ils seront rejoints par Nina, la Rouge…

    2005 - 12,5/21 - 96 p. - 7,80 € - 2-87267-096-3

  • MALMEMOIRE suivi de LA RACE DES SAIGNEURS

  • MALMEMOIRE suivi de LA RACE DES SAIGNEURS

    Emmanuel Loretelli

    Malmémoire  : La mémoire écorchée, Monsieur Renaud a choisi un exil volontaire dans une petite ville. Amnésie ou mystification ? Quel rôle joue la mémoire dans l’équilibre d’un être humain ? La communauté qui l’entoure se livre à cet homme si disponible. Et s’ils retrouvaient leurs traces ensemble.
    La Race des Saigneurs  : Un lieu, neutre et froid (une morgue ?). Trois personnages s’y retrouvent et découvrent peu à peu qu’ils sont morts, de mort violente. L’arrivée de l’Homme en noir leur permettra de comprendre qui les a tués. Et pourquoi. Une fable sur le pouvoir, la corruption et la justice.

    2005 - 12,5/21 - 96 p. - 7,80 € - 2-87267-095-5

  • LA TENTATION DU BAZOOKA

  • LA TENTATION DU BAZOOKA

    Théâtre de l’arcane - Dominique Cier

    en collaboration avec le Comité d’Entreprise de Nestlé (Marseille)
    Marcel accompagne sa femme à l’hôpital. Elle est malade. Elle ne sait plus qui elle est. Elle n’a plus de nom. Il faut probablement un grand choc émotionnel pour provoquer un tel désordre. Marcel ne sait pas vraiment quand elle a commencé à dériver. Il était trop proche. Sûrement après l’annonce de la fermeture de l’usine, mais à quel moment elle a lâché prise, il ne peut pas le dire. C’était trop tard quand il s’en est rendu compte. Et maintenant, ils vont à l’hôpital.
    On n’ose plus écrire ni prononcer le mot « solidarité » et on détourne pudiquement la tête pour ne pas regarder en face le malheur des autres. La fermeture programmée d’une usine fait sans doute partie de l’aventure humaine, mais comment résonne-t-elle lorsqu’on se trouve au cœur de l’histoire ?

    2005 - 12,5/21 - 96 p. - 7,80 € - 2-87267-097-1

  • LE FLEUVE NATIONAL

  • LE FLEUVE NATIONAL

    Ricardo Montserrat

    Cette pièce a été écrite en résidence dans le Nord du Vaucluse, où, comme chacun sait, le vote FN atteint des records nationaux. Elle parle aussi des inondations, du meurtre général, biologique auquel nous nous sommes habitués.
    « Qui a laissé arracher les arbres et comblé les lônes, qui a asphalté les routes, salopé les rives, endigué le fleuve et barré les rivières ? Qui a décidé que la vie d’un Marseillais, d’un Avignonnais ou d’un Parisien en vacances valait dix fois celle d’un paysan de Mondragon ou d’un vigneron de Vaison ?
    Qui a fait arracher les vignes pour planter du béton ? Qui a interdit qu’on fasse sauter les digues quand le fleuve monte ? Qui dit aujourd’hui que le vin, c’est du venin, le tabac du poison, que la jeunesse, c’est dangereux pour la tranquillité publique ? Qui dit que les vapeurs délétères du pôle nucléaire, les gaz bleutés du pôle chimique, les fumées des norias de camions sur l’A 7, les bactéries du pôle de recherches militaires, c’est bon pour la santé de l’humanité ? »

    2005 - 12,5/21 - 136 p. - 8,60 € - 2-87267-092-0

  • BOUILLON BLANC ET TRAIN D’ENFER

  • BOUILLON BLANC ET TRAIN D’ENFER

    Emile Hesbois

    1982. A cette époque, des petites lignes de chemin de fer, des petites gares sont supprimées. Séraphin, chef de gare à la retraite, s’insurge contre ce démantèlement programmé et se souvient des résistances anciennes. C’est l’objet du spectacle créé cette année-là.
    Auiourd’hui, la situation n’a fait qu’empirer, et Emile Hesbois passe le relais à Serge Collard pour ne pas se « laisser emporter par la fuite en avant d’un monde qu’on nous bâtit et qu’on souhaiterait différent. »
    La nostalgie n’est pas forcément rétrograde...

    2005 - 12,5/21 - 64 p. - 7,40 € - 2-87267-091-2

  • DES GENS PASSENT ET J’EN OUBLIE suivi de IL ETAIT UNE FEMME… DES FEMMES

  • DES GENS PASSENT ET J’EN OUBLIE suivi de IL ETAIT UNE FEMME… DES FEMMES

    Laurent Poncelet

    Deux créations collectives produites par Ophélia Théâtre (Gre-noble) avec le groupe Les Mange-Cafard pour la première, et le -groupe La Clique pour la deuxième.
    Des Gens passent et j’en oublie  : un quartier populaire urbain, avec ses habitants isolés, perdus, opposés dans leurs conflits dérisoires, désarmés face au manque de reconnaissance, de compréhension, d’amour...
    Il était une Femme... des Femmes : des femmes qui se croisent, se rencontrent, s’unissent pour dénoncer les stéréotypes qui leur imposent des rôles, et les pouvoirs qui les enferment.

    2005 - 12,5/21 - 184 p. - 9,20 € - 2-87267-090-4

  • CHEZ NOUS suivi de ENSEMBLE suivi de RIDEAU

  • CHEZ NOUS suivi de ENSEMBLE suivi de RIDEAU

    Théâtre de la Communauté

    Trois textes créés par la Compagnie Sans Nom, atelier permanent du Théâtre de la Communauté de Seraing.
    Chez nous : certains se connaissent, d’autres pas. On leur a dit de venir. Une soirée, pourquoi pas ? Etre avec... L’occasion de ne pas être seul.
    Ensemble : huit personnages sont victimes d’un naufrage annoncé. Autour d’eux la précarité rivalise avec la pauvreté absolue. Chacun défend son territoire grand comme un mouchoir de poche.
    Rideau : onze personnages en quête d’histoires à raconter. Celles dont je veux me débarrasser ? Celles que le public exige ? Celles qu’on invente pour rompre ? Pour se réconcilier ?

    2005 - 12,5/21 - 152 p. 8,50 € - 2-87267-089-0

  • LA CHIMERE suivi de ABRAHAM MAZEL, PROPHETE CAMISARD

  • LA CHIMERE suivi de ABRAHAM MAZEL, PROPHETE CAMISARD

    Anne Clément

    C’est la guerre des camisards de 1702 qui constitue la toile de fond de ces deux textes écrits par Anne Clément pour le Gargamela Théâtre.
    L’auteur y présente deux héros de cette époque, Abraham Mazel et Jean Cavalier, paysans devenus généraux pour se battre contre les dragons de Louis XIV et défendre la liberté de culte des protestants cévenols.

    2005 - 12,5/21 - 128p. - 8,20 € - 2-87267-087-4

  • AGNUS DEI suivi de LES CHARDONS ROUGES

  • AGNUS DEI suivi de LES CHARDONS ROUGES

    Jean-Jacques Greneau

    J.J.Greneau s’attache ici à trois « chantiers ».
    Dans Agnus Dei, le Chantier n°1 présente deux monologues en parallèles : celui d’un journaliste relatant la situation, celui d’une jeune femme palestinienne qui se révèle être la première femme kamikaze. Dans le Chantier n°2, le commentaire du journaliste ponctue l’affrontement de deux amies israéliennes face à cet attentat.
    Les Chardons rouges : le Chantier n°3 est consacré à la Tchétchénie. Un texte qui dénonce la guerre coloniale, raciste, menée par la Russie contre un peuple décimé, oublié de tous, qui survit dans les pires conditions et continue de résister.

    2005 - 12,5/21 - 112 p. - 8 € - 2-87267-086-6

  • SIX FOIS PAR MOIS suivi de APPELS EN ABSENCE

  • SIX FOIS PAR MOIS suivi de APPELS EN ABSENCE

    Compagnie Maritime

    Deux textes sur la violence conjugale.
    Six fois par mois : Six fois par mois, en France, une femme meurt de violence conjugale. Au travers de situa-tions d’une banale quotidienneté, ce texte veut montrer l’engrenage de la violence dont un être humain peut être capable sur celle ou celui qu’il aime, la peur qui s’installe, l’indifférence qui nous rend complices.
    Appels en absence : Insi-dieu-sement, la violence s’installe tôt chez les adolescents. Ce texte présente des situations qui les concernent et dénonce des comportements souvent acceptés comme normaux.

    2005 - 12,5/21 - 112 p. - 8 € - 2-87267-085-8

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